3 juillet 2008
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06:29
Dans les dunes touquetoises naufragée volontaire
Les oyats ondulaient sous une brise légère
L'espoir me revenait...
Et le chant des oiseaux berçait mes états d'âme
Escaladant une dune, un joyau m'attendait
Une mer grise aux reflets de l'opale subtile
Vagues de perles blanches en parure qui scintille
Des flots teintés de vert aux pensées ténébreuses
Des bourrasques qui dansent en colères furieuses
Et puis ton amitié...
Ce fut le vent du large qui t'emporta au loin
Et le vent vint sécher les traces de mon chagrin.