9 décembre 2009
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18:17
J'avais préparé cet article pour plus tard, mais j'ai pensé que cela pouvait vous occuper en attendant mon retour...
"La vieille dame de Saint-Gratien" est un joli conte de Noël qui nare la belle histoire d'amour de Louise et de Philippe, une histoire d'amour qui défie les lois du temps.
"La vieille dame était dans l’église pour la messe de Noël, au premier rang car ses yeux fatigués d’avoir pleuré ne voyaient plus grand-chose, car ses oreilles usées par les bruits de la vie n’entendaient plus trop bien et son dos courbé par les ans, 84 au printemps prochain, donnait l’impression qu’elle était toujours inclinée, dans une posture tout à fait attendue de la part d’une « grenouille de bénitier ». C’est certainement ainsi que devaient l’appeler les jeunes et même bon nombre d’adultes, ceux qui étaient installés dans les rangs derrière elle et qui ne voyaient d’elle que son apparence actuelle. Cette idée la faisait sourire et c’est pourquoi le curé croyait qu’elle était très pieuse et qu’elle souriait aux anges. Elle imaginait les commentaires à son décès, son éloge funèbre et se demanda si le curé n’allait pas demander sa canonisation, cette idée la fit rire et elle dissimula son éclat de rire dans une quinte de toux. Elle était si loin d’être une sainte! Et le récit de sa vie n’était pas à mettre entre toutes les mains…Mais bien sûr, les apparences…Et plus personne ne pouvait les contredire ces apparences, puisqu‘il ne restait plus personne l‘ayant connu plus jeune."
Pour lire la nouvelle en entier cliquez sur le titre de la nouvelle.
"La vieille dame de Saint-Gratien" est un joli conte de Noël qui nare la belle histoire d'amour de Louise et de Philippe, une histoire d'amour qui défie les lois du temps.
"La vieille dame était dans l’église pour la messe de Noël, au premier rang car ses yeux fatigués d’avoir pleuré ne voyaient plus grand-chose, car ses oreilles usées par les bruits de la vie n’entendaient plus trop bien et son dos courbé par les ans, 84 au printemps prochain, donnait l’impression qu’elle était toujours inclinée, dans une posture tout à fait attendue de la part d’une « grenouille de bénitier ». C’est certainement ainsi que devaient l’appeler les jeunes et même bon nombre d’adultes, ceux qui étaient installés dans les rangs derrière elle et qui ne voyaient d’elle que son apparence actuelle. Cette idée la faisait sourire et c’est pourquoi le curé croyait qu’elle était très pieuse et qu’elle souriait aux anges. Elle imaginait les commentaires à son décès, son éloge funèbre et se demanda si le curé n’allait pas demander sa canonisation, cette idée la fit rire et elle dissimula son éclat de rire dans une quinte de toux. Elle était si loin d’être une sainte! Et le récit de sa vie n’était pas à mettre entre toutes les mains…Mais bien sûr, les apparences…Et plus personne ne pouvait les contredire ces apparences, puisqu‘il ne restait plus personne l‘ayant connu plus jeune."
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