Une merveilleuse blagounette antisarko sur le blog de Felix.
Les mots offerts comme destination de voyage
Une merveilleuse blagounette antisarko sur le blog de Felix.
Vous me copierez deux cent fois cette phrase
Je ne dois pas parler comme un chartier
C'est la punition que vous donne votre base
Ce peuple, dont les droits humains vous niez
Vous vous comportez vraiment comme un nase
Et au cul vous méritez des coups de pied
A croire qu'il vous manque une case
Ou qu'avec le vulgaire vous êtes lié
Il est temps qu'on vous dise sans emphase
La honte de la France est votre alliée
Méfiez-vous que le peuple ne s'embrase
Et ne vous réserve le sort qui lui sied
Avant que votre suffisance on ne rase
Riez, Monsieur le Président, riez!
(Ma participation au jeu de Bénédicte)
"J'aurais mieux fait de ne pas lui répondre", reconnaît Nicolas Sarkozy à propos de son comportement au salon de l'Agriculture où il a lancé samedi un "casse-toi alors, pauvre con", à un visiteur peu amène qui l'avait gratifié d'un "touche-moi pas, tu me salis".
Dans un entretien accordé au "Parisien/Aujourd'hui en France" publié mardi, le président de la République revient sur cet épisode qui, capturé par une vidéo mise en ligne sur le site du quotidien, a suscité moult commentaires de toute la classe politique pendant le week-end.
"Il est difficile, même quand on est président, de ne pas répondre à une insulte", se justifie le chef de l'Etat. "J'ai sans doute les défauts de mes qualités", ajoute-t-il.
"Ce n'est pas parce qu'on est le président qu'on devient quelqu'un sur lequel on peut s'essuyer les pieds", se défend-il. "Cela étant, j'aurais mieux fait de ne pas lui répondre", admet-il.
Les enseignants eux, ont obligation de garder leur sang froid en toute circonstance, sinon ils se retrouvent en garde à vue. Les élèves ont le droit de "s'essuyer les pieds sur eux" et en plus ils doivent dire merci. Dés fois que le père soit gendarme...
« Je pense que les ambitieux des démocraties se préoccupent moins que tous les autres des intérêts et des jugements de l' avenir : le moment actuel les occupe seul et les absorbe. (...) ce qui fait qu'ils transportent très souvent dans une fortune extraordinaire des goûts très vulgaires, et qu' ils semblent ne s' être élevés au souverain pouvoir que pour se procurer plus aisément de petits et grossiers plaisirs. »
Qui écrit? De qui parle-t-il? A quelle époque?
Le texte en entier sur le blog de Loïs de Murphy
" Depuis des mois, il s’étale ; il a (...) paradé et fait la roue… Il a réussi. Il en résulte que les apothéoses ne lui manquent pas. (...) Il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ; ne pouvant créer, il décrète.
Non, cet homme ne raisonne pas ; il a des besoins, il a des caprices, il faut qu’il les satisfasse. Ce sont des envies de dictateur. (...) Quand on mesure l’homme et qu’on le trouve si petit, et qu’ensuite on mesure le succès et qu’on le trouve si énorme, il est impossible que l’esprit n’éprouve quelque surprise. (...) On ne trouve au fond de l’homme et de son procédé que deux choses : la ruse et l’argent…
(...) Il a pour lui désormais l’argent, l’agio, la banque, la bourse, le comptoir, le coffre-fort et tous les hommes qui passent si facilement d’un bord à l’autre quand il n’y a à enjamber que la honte…(...) une foule de dévouements intrépides assiègent l’Elysée et se groupent autour de l’homme… C’est un peu un brigand et beaucoup un coquin.(...) "
Qui parle ainsi? Et de qui parle-t-il? La clef du mystère sur le blogue d'Ecriveuse.