"On le connaissait 'vantard', 'hyperactif' et 'familier', mais, cette fois, Nicolas Sarkozy 's'est surpassé', note le quotidien britannique The Guardian. En l'espace d'un déjeuner, 'le président français s'est débrouillé pour rabaisser Barack Obama, traiter Angela Merkel avec condescendance et insulter' le premier ministre espagnol. Seul Silvio Berlusconi a été épargné. Et pour cause : à en croire Nicolas Sarkozy, 'l'important dans la démocratie, c'est d'être réélu'. Et 'Berlusconi, il a été réélu trois fois.'
'Deux fois seulement' corrige le New York Times. Rappelant 'le goût de l'action' du chef de l'Etat, le quotidien américain se borne à un exposé acerbe des prétentions françaises. 'Dans le monde de Sarko, le président Obama est faible, inexpérimenté et mal informé sur le changement climatique'. C'est 'la fin de la courte lune de miel franco-américaine', ironise The Times.
Côté espagnol, la polémique a rapidement pris de l'ampleur. A en croire El Pais, les démentis de l'Elysée n'ont pas convaincu. Beaucoup sont montés au créneau pour défendre le premier ministre socialiste. Même le vice-secrétaire de la communication du PP (Parti populaire, droite), Esteban González Pons, s'est dit gêné. 'Je ne me réjouis pas de ces déclarations, même s'il a parfois raison. Zapatero est notre chef d'Etat, c'est comme ça, s'il est attaqué, nous devons le défendre."
Source Yahoo
Récemment dans le journal "Métro" j'ai lu une interview du père de Sarko dans laquelle il disait qu'il espérait que son fils allait installer une "dynastie" sarkosy en France. Etant professeur d'éducation civique, mon sang n'a fait qu'un tour et je me mets à la disposition de la famille Connardy euh.. Sarkosy pour leur faire un cours sur la démocratie et leur rappeller que la France est une république démocratique. Or, dans une démocratie les dynastie n'existent pas. D'autre part, je peux aussi leur faire un cours sur le rôle du président de la République, ce rôle n'étant pas de se prendre pour le centre du monde, de fraterniser avec l'ersatz de Mussolini et de faire honte à la France.